SIÈGE SOCIAL 5610, boul. St-Laurent Montréal (Québec) H2T 1S8 CANADA
COMPTABILITÉ 4613, Louis B. Mayer, Laval (Québec) H7P 6G5 CANADA
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Lundi-Vendredi, 8:30am-5pm
04 juil., 2019·Par Genève Boulianne-Grenier
GALÁPAGOS : SUR LES TRACES DE CHARLES DARWIN
04 juil., 2019·Par Genève Boulianne-Grenier
Article 1/2 Notre gestionnaire marketing s’est rendue dans cet archipel équatorien isolé, regorgeant d’espèces endémiques plus surprenantes les unes que les autres !
Cette année, j’ai eu l’immense bonheur de visiter un lieu qui me fascine depuis mon plus jeune âge. Mystérieuses, sauvages, iconiques, les îles Galápagos représentent un véritable paradis pour l’amoureuse des animaux que je suis !
En deux semaines, j’ai eu la chance de visiter trois îles : Santa Cruz, Isabela et San Cristóbal en alternant des déplacements en bateau et en avion.
UNE TERRE DE REPTILES
Lorsque le jeune naturaliste Charles Darwin a visité les îles Galápagos en 1835, il a fait la découverte d’espèces comme il ne s’en trouve nulle part ailleurs sur Terre.
En plus des fameux pinsons qui lui ont inspiré sa théorie sur l’évolution des espèces, il a observé de nombreuses espèces de tortues géantes. Chacune présente des caractéristiques physiques propre à son environnement respectif. Par exemple, la tortue ci-haut a une carapace en forme de dôme, adapté à un environnement où la végétation est abondante et accessible. La tortue ci-bas, quant à elle, présente une carapace en forme de selle, plutôt adaptée à une alimentation située en hauteur. Cette dernière a d’ailleurs inspiré le nom de l’archipel en raison de cette forme singulière.
J’avoue qu’elles sont très impressionnantes en vrai. Je n’aurais jamais pu imaginer qu’elles étaient si imposantes !
J’ai souvent vu des iguanes terrestres au cours de mes voyages, mais des iguanes marins, il n’est possible d’en rencontrer que sur les îles Galápagos ! Ces gentils reptiles d’allure préhistorique sont littéralement partout ! Leurs ancêtres, arrivés du continent il y a de cela bien longtemps, ont dû s’adapter en raison du manque de nourriture, ce qui les a amenés à se nourrir à même les algues qui poussent dans les eaux riches et salées.
LES GENTILS « CHIENS » DES MERS
Les eaux qui entourent les îles sont relativement froides et abritent une faune très diversifiée grâce au courant de Humboldt qui regorge de nutriments qu’il transporte depuis l’Antarctique. Cette richesse marine permet à de nombreuses espèces de proliférer. Parmi ces dernières, on retrouve les fameux requins marteaux et les requins tigres. Les maîtres incontestés des eaux peu profondes sont toutefois sans contredit ces adorables otaries des Galápagos ! Le jour, il est possible d’en observer un nombre impressionnant se prélasser au soleil ! Si vous avez l’occasion de plonger avec elles, vous serez sans aucun doute impressionnés par leur agilité et leur esprit joueur !
LA COHABITATION DANS TOUT CELA?
Avant mon arrivée, j’avoue que j’étais curieuse de savoir comment la population des îles habitées cohabitait avec cette faune omniprésente. J’ai été très heureuse de constater que les Équatoriens semblent particulièrement fiers de leur faune unique ! Ils la protègent et en prennent soin avec un respect exemplaire !
Au port de Puerto Ayora, les pêcheurs lèvent les filets des prises du jour entourés d’otaries, de pélicans, de frégates, de hérons et j’en passe ! La cohabitation, c’est aussi de leur offrir les rebus des poissons, au plaisir apparent de ces estomacs gourmands.